Il y a quelques années, lors de l’année du Cheval, une grande entreprise française m’a contacté pour discuter de leur stratégie de développement en Chine. Enthousiastes à l’idée de percer le marché chinois, ils ont voulu s’assurer qu’ils prenaient en compte les croyances culturelles et les influences astrologiques.
Lorsque je leur ai expliqué que l’année du Cheval était souvent associée à l’énergie dynamique et à la vitalité, leur intérêt a augmenté. Cependant, ils ont été pris de court quand j’ai mentionné que chaque animal du zodiaque a ses propres caractéristiques, et qu’il y a des superstitions autour de ces symboles. À ce moment-là, quelqu’un dans l’équipe a demandé, un peu inquiets, si cela signifiait que tous les chevaux allaient mourir cette année-là.
Mon maître, qui se tenait à mes côtés, a éclaté de rire à cette question. Avec un sourire malicieux, il a répondu : “Ne vous inquiétez pas, mes amis ! Les chevaux ne vont pas mourir, mais plutôt galoper vers de nouveaux horizons ! L’année du Cheval est synonyme de progrès et de succès, tant que vous travaillez dur et que vous suivez le bon chemin.”
Cette réponse a détendu l’atmosphère et a ouvert la voie à une discussion plus approfondie sur les opportunités d’affaires en Chine. À travers cette expérience, j’ai réalisé à quel point il est important de combiner le sérieux des affaires avec une bonne dose d’humour. Après tout, une approche positive et pleine de légèreté peut faire toute la différence dans les relations interculturelles.
Finalement, la collaboration a été fructueuse, et je pense que la légèreté de cette anecdote a contribué à établir une bonne ambiance et à créer des liens solides entre nos deux cultures.